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Donner du sens à l’action

Publié par le | Mis à jour le

Co-fondatrice de Balzac Paris, Chrysoline de Gastines a débuté sa carrière dans le journalisme et le community management avant de se lancer dans l’aventure Balzac Paris. Son moteur : la quête de sens et la fidélité à ses valeurs.

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Son mastère 2 en communication en poche, Chrysoline de Gastines débute dans la vie professionnelle par une expérience journalistique au sein de Version Femina. « L’expérience a été très riche, mais j’ai également pu constater les difficultés de la profession et les horizons potentiellement bouchés ». Elle envisage alors une autre carrière où tout est à inventer : Community manager. Elle rejoint alors le groupe Marie-Claire et entretient le lien avec le lectorat de Marie-Claire Maison et Idée en digital. « En apprenant à parler avec une communauté au nom d’une marque j’ai trouvé la synthèse entre deux univers : le journalisme et une vision digitale du métier », explique Chrysoline De Gastines. Depuis la création de Balzac Paris en 2011, aux côtés de Charles et Victorien, ses deux associés, elle met à profit ses compétences en communication autant que sa créativité naturelle pour développer l’entreprise.

 

 

Le secteur de la mode et du textile a un impact environnemental indéniable. « Dès le début, nous avons souhaité ancrer notre entreprise dans une démarche responsable. Je pense que ma plus grande fierté, c’est d’avoir su conserver cette ligne de conduite et d’avoir pu insuffler cette ambition, cette énergie à l’ensemble des équipes », confie Chrysoline de Gastines. Être toujours plus responsable, répondre à des causes plus grandes que l’entreprise elle-même, « c’est donner du sens à l’entreprenariat au quotidien et je suis fière que nous ne soyons pas perdus en chemin ».

 

 

Quatrième d’une famille de cinq filles, Chrysoline de Gastines est consciente que bien des inégalités existent, « mais il existe des secteurs d’activité où ces inégalités sont plus criantes que dans le nôtre ». Au sein de Balzac Paris, les effectifs sont principalement féminins et si les métiers peuvent être très genrés, ce n’est pas le cas du leadership. « Hommes ou femmes, nous avons tous nos forces et nos faiblesses. Le leadership est avant tout une question de mentalité, d’énergie et d’envie… Le genre n’a fondamentalement pas grand-chose à faire dans la question… ».

 

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