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Publié par La rédaction le

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1 000 MILLIARDS D'EUROS

1 000 MILLIARDS D'EUROS C'EST LA BARRE SYMBOLIQUE QUE DEPASSERONT LES VENTES EN LIGNE DANS LE MONDE EN 2013, SELON L'ASSOCIATION BRITANNIQUE IMRG. EN 2011, L'E-COMMERCE B TO C REPRESENTAIT 690 MILLIARDS D'EUROS, SOIT UNE HAUSSE DE 20 % PAR RAPPORT A 2010. LEADERS DE L'E-COMMERCE MONDIAL, LES ETATS-UNIS, LE ROYAUME-UNI ET LE JAPON VERRONT LEUR CROISSANCE PROGRESSER, DANS LES PROCHAINES ANNEES, DE 10 A 15 % PAR AN.

Source: IMRG, juin 2012.

L'ACSEL AUX AVANT-POSTES POUR DEVELOPPER L'E-COMMERCE TRANSFRONTALIER

L'Acsel (Association de l'économie numérique) renforce ses positions sur l'e-commerce, et plus particulièrement sur l'e-commerce transfrontalier. Après avoir lancé, en partenariat avec Ubifrance, une série d'ateliers pays pour aider les e-marchands à développer leur activité dans les principaux marchés européens, l'association annonce la signature d'un partenariat avec la European Multi-channel and Online Trade association (Emota). «Les deux associations travailleront ensemble pour promouvoir un marché unique européen, sans frontières, pour le commerce de biens et de services en ligne, et pour oeuvrer au développement de l'e-commerce et de l'économie numérique en Europe», ambitionnent les organisations. Basée à Bruxelles, Emota représente 16 pays européens pesant pour 85 % du total du marché de l'e-commerce en Europe. Pierre Alzon, le président de l'Acsel, a souligné qu'« avec Emota comme partenaire, les actions de l'Acsel en faveur de l'économie numérique vont acquérir une dimension européenne encore plus visible ».

Amazon: le centre de distribution de Chalon-sur-Saône opérationnel

Le troisième centre de distribution d'Amazon en France devait démarrer son activité à Chalon-sur-Saône. C'est ce qu'a annoncé, le 25 juin dernier, le géant de l'e-commerce, confirmant les rumeurs mettant Beaune (Côte-d'Or), autre candidate à (l'implantation, hors course. Sur place, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a commenté devant la presse, aux côtés des représentants d'Amazon et de plusieurs élus locaux, ce qu'il tient pour un « message d'optimisme à tous les territoires qui ont subi la crise. La commune de Chalon-sur-Saône a souffert pendant un certain nombre d'années de la désolation de l'après-Kodak [dont l'usine chalonnaise a fermé en 2007, NDLR] », a rappelé le ministre. Pour ce dernier, l'installation d'Amazon devrait contribuer à « effacer la brûlure des 3 000 emplois qui ont disparu. Notre choix est de soutenir des installations qui durent dans le temps et qui augmentent le nombre d'embauches. » Face aux suspicions d'intervention dans le dossier de l'ancien élu de Saône-et-Loire, la réponse du ministre fut claire: « Pas de dérogation. Pas de faveur. Pas de passe-droit. »

La plateforme prend place dans un bâtiment existant sur le site Distripôle de Sevrey, en périphérie de Chalon-sur-Saône. Elle s'étend sur une surface de 40 000 m², à comparer avec les centres de distribution existants de Saran (Loiret) et Montélimar (Drôme), dont les superficies s'élèvent respectivement à 70 000 m² et 36 000 m². Les marchandises qui transitent par Chalon-sur-Saône sont acheminées dans le monde entier, mais concernent principalement des commandes passées sur le site français d'Amazon.

VOYAGEPRIVE.COM INVITE SES MEMBRES A REVER EN LIVE

Avec Voyage Privé Live, l'e-commerçant propose à ses membres de découvrir les offres à travers la vision d'autres internautes. Via un onglet dédié, les clients peuvent savoir combien de personnes ont acheté chaque voyage, mais aussi combien rêveraient d'y participer.

Avec l'application «Mes albums», Voyageprivé permet également aux membres de réunir leurs offres préférées et de les partager sur Facebook. Il leur suffi t de cliquer sur «Rêver» et d'ajouter des photos d'hôtels et de séjours dans des albums personnalisés comme voyages de rêves, escapades d'un week-end, vacances en famille, destinations pour l'été, etc. Une fois les ventes terminées, il leur est encore possible de consulter les produits accompagnés de descriptifs et d'avis d'internautes.

83 %

83 % C'EST LE POURCENTAGE DE FRANCAIS QUI SERAIENT PRETS A PAYER CHEZ UN COMMERCANT AVEC LEUR MOBILE, SI LE NIVEAU DE SECURITE LEUR GARANTISSAIT LA PROTECTION DE LEURS COORDONNEES BANCAIRES.

Source: Etude CCM Benchmark - CSA Consulting, juin 2012.

Menlook crée son magazine masculin

Déjà actif dans la production de contenus éditoriaux (avec Menly notamment), MenInvest se recentre sur sa marque Menlook et lance The Menlook Tribune, un magazine dédié aux hommes sur son site [marchand Menlook.com. Ce «masculin» en ligne veut offrir «une véritable expérience éditoriale» et souhaite se positionner »loin du consumer magazine». Le trimestriel traitera de sujets liés à la mode, aux tendances high-tech, à la culture, à l'automobile, aux voyages et aux bonnes tables. The Menlook Tribune se décline sous différentes formes: une version en ligne mise à jour quotidiennement, un magazine papier et une version iPad.

LA RENTABILITE DES SITES MARCHANDS ENCORE TRES FRAGILE

Etroitement liée à la croissance du canal internet, la croissance des sites marchands français ne peut plus se contenter de miser sur cette progression. En effet une étude Webloyalty réalisée par CCM Benchmark Institut révèle que les sites d'e-commerce sont, eux aussi, impactés par les chocs conjoncturels et structurels, nuisant par là même à leur rentabilité. Dans ce contexte de crise, en 2011, seuls 14 % des sites ont pu améliorer significativement leur rentabilité quand, dans le même temps, celle-ci baissait pour un quart des sites. Il ne s'agit pas de tirer la sonnette d'alarme, car 80 % des sites d'e-commerce auraient franchi le seuil de rentabilité, mais parmi les plus grands sites - ceux dont le chiffre d'affaires dépasse 10 millions d'euros - près d'un sur cinq n'a pas encore atteint ce seuil. Notamment ceux dont l'activité porte sur des secteurs très développés en e-commerce, comme le tourisme ou l'électronique grand public, qui pèseraient déjà plus de 15 % des dépenses des ménages. Autre facteur pouvant influer la rentabilité d'un site: la baisse des marges commerciales. En effet, un univers hautement concurrentiel est bien souvent associé à une guerre des prix, et les sites sont poussés à grignoter sur leurs marges. Un contexte difficile donc, pour lequel l'étude souligne tout l'intérêt de la fidélisation des acheteurs. La moitié des sites sondés auraient en effet augmenté leur rentabilité en 2011, grâce à l'amélioration de leur taux de fi délité. Là n'est pas la seule option, puisque la diversification des sources de revenus aurait également un impact sur la rentabilité des sites marchands. En 2011, 54 % d'entre eux ont suivi cette dynamique, notamment en mettant en place la commercialisation d'espaces publicitaires ou de partenariats avec des tiers, comme les programmes de cash back.

UNE NOUVELLE IDENTITE VISUELLE ET UN RESEAU DE FRANCHISES POUR LDLC

Dans le cadre de sa croissance, le groupe LDLC opte pour la mise en place d'une nouvelle identité visuelle des logos de LDLC.com et LDLC.pro. LDLC est l'une des premières entreprises à s'être lancée dans la vente en ligne en 1996. Acteur majeur de l'e-commerce sur le marché de l'informatique et du high-tech, LDLC répond aux besoins des particuliers comme des professionnels. Le groupe a également annoncé le développement d'un réseau de franchises. Ainsi, le concept store LDLC reposera sur des valeurs phares du groupe: accompagnement et conseils d'experts, services sur mesure, s' adaptant à tous types de clientèles et une gamme de produits sélectionnés «pour privilégier le meilleur rapport qualité, service et prix». Pour ce pure player historique du Web, l'arrivée dans un réseau physique se présente, selon Laurent de la Clergerie, fondateur et p-dg, comme une opportunité « d'accroître notre notoriété, de multiplier nos ventes, d'améliorer nos marges, d'apporter d'avantage de services aux consommateurs et d'offrir un nouveau canal de vente à notre marque ». Pour l'ensemble de l'exercice 201 1-2012, le groupe LDLC affiche un chiffre d'affaires de 176,9 millions d'euros, en croissance de 4,5 %.

26,9 MILLIARDS D'EUROS

IL S'AGIT DU NOMBRE D'EUROPEENS CONNECTES A INTERNET, SELON LA HUITIEME VAGUE DE L'ETUDE MEDIASCOPE DE LIAB EUROPE. 87 % DES INTERNAUTES EUROPEENS ONT DEJA ACHETE EN LIGNE ET 96 % UTILISENT INTERNET POUR EFFECTUER DES RECHERCHES EN VUE D'UN ACHAT FUTUR. ET PLUS D'UN TIERS ACCEDE A INTERNET DEPUIS PLUSIEURS TERMINAUX.

Source: IAB, mai 2012.

GILLES BABINET VA DEFENDRE LA SOCIETE NUMERIQUE AUPRES DE L'EUROPE

Après avoir passé moins d'un an à la tête du Conseil national du numérique (CNNum), Gilles Babinet se voit confier de nouvelles attributions par la ministre chargée de l'Economie numérique, Fleur Pellerin. Celle-ci l'a désigné pour être le «champion du numérique» auprès des instances européennes, dans le cadre du programme «Digital champion«, voulu par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.

Gilles Babinet aura pour mission de promouvoir les avantages de la société numérique, dans le but de mettre la stratégie numérique au coeur des enjeux européens, et de mutualiser les savoir-faire et les projets sur le sujet. «Ce poste recoupe les deux facteurs qui ont le plus d'importance le numérique, pour son potentiel de transformation et de modernisation de la société, et l'Europe, comme nécessité impérative pour nous extraire de la crise que nous connaissons», a expliqué, par voix de communiqué, Gilles Babinet.

Botanic vend en ligne

L'enseigne de jardinerie savoyarde Botanic lance un site marchand, comprenant plus de 3 000 références dédiées au jardin (semences, engrais, outillage), à la décoration (mobilier de jardin, déco extérieure et luminaires solaires) et à l'animalerie (chiens, chats, aquariophilie, basse-cour et rongeurs). Cette e-boutique se positionne avant tout comme un complément du réseau de points de vente existant, déjà composé de 63 magasins en France et cinq en Italie. C'est la raison pour laquelle les produits vendus sur le site ne représentent pas l'intégralité de l'offre disponible en magasin.

Lagardère change de stratégie pour son magazine Be

En octobre, le magazine du groupe Lagardère, Be, se lance dans le social shopping en enrichissant Be.com d'un volet e-commerce. L'objectif: proposer à sa communauté de 200 000 inscrits essentiellement représentée par les 18-35 ans, une expérience autour de la mode et de la beauté à travers des conseils et prescriptions, échanges et actes d'achat. Cette nouvelle présence dans l'univers numérique se fait au détriment du magazine papier. Accroché par une forte concurrence, notamment Elle (Lagardère) et Grazia (Mondadori), l'hebdomadaire, créé en avril 2010, passe en mensuel. Une solution évidente pour un magazine qui plafonne à 171 000 exemplaires en moyenne par an (OJD 2011) et ce, malgré des baisses de prix et le passage en format poche en janvier dernier. Cette «nouvelle formule» redonnera vie au grand format et devrait augmenter son prix. « En collaboration étroite avec l'éditeur, nous sommes enthousiastes à l'idée de faire bouger les lignes à travers ce nouvel écosystème 360° et de proposer aux annonceurs et à leurs agences de nouveaux territoires d'expression publicitaire », explique Constance Benqué, présidente de Lagardère Publicité.

89 %

89 % C'EST LE POURCENTAGE DES FRANCAIS QUI CONSULTENT LES AVIS EN LIGNE AVANT D'ACHETER.

ILS SONT EGALEMENT 53 % A FAIRE CONFIANCE A LEURS AMIS FACEBOOK AVANT L'ACHAT D'UN PRODUIT.

Source: Etude Reevoo-GMI Research menée auprès d'un panel représentatif de 5 000 personnes, dans cinq pays (1 000 dans chaque pays) - France, Grande-Bretagne, Espagne, Allemagne et Pays-Bas.

Overblog met en valeur les réseaux sociaux

C'est à l'issue d'une étude auprès de 5 000 blogueurs influents à travers le monde que les équipes d'Overblog et d'Ebuzzing ont conçu la nouvelle plateforme de publication de posts. Le blogueur peut désormais intégrer sur une seule page l'ensemble des contenus publics qu'il a publiés sur les différentes plateformes sociales. « Avec le développement de plateformes dédiées à certains types de contenus (Instagram et Flickr pour la photo, YouTube et Dailymotion pour la vidéo, Foursquare pour la géolocalisation, Twitter pour les messages courts... ), les utilisateurs fragmentent leur présence en ligne, ce qui pose un vrai problème de visibilité pour ceux qui cherchent à développer de l'audience et de l'influence. Avec cette nouvelle version, l'ensemble des contenus qu'un utilisateur créé ou recommande partout sur le Web sont disponibles sur une seule et même page. Nous résolvons ce problème de fragmentation en faisant le lien entre l'ensemble des plateformes sociales », déclare Frédéric Montagnon, cofondateur d'Overblog.

CRITEO INAUGURE UN NOUVEAU POLE DE R & D

Criteo a inauguré, le 27 juin dernier, son nouveau pôle de recherche et développement, installé au 32, rue Blanche ((Paris IXe arr.), en présence de Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Economie numérique. « Nous sommes une PME qui fait de l'innovation dans l'économie numérique », a lancé, enthousiaste, Jean-Baptiste Rudelle, p-dg de Criteo. Il a rappelé que Criteo avait l'ambition de recruter 250 personnes en 2012, justifiant ainsi l'ouverture du nouveau laboratoire de la société. « Criteo a eu l'audace de s'installer dans la Silicon Valley, tout en gardant à Paris la recherche et le développement », a affirmé Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris. Une réussite qui lui inspire cette phrase, approuvée par l'audience: « Il ne sert à rien de taxer les entreprises innovantes pour financer les entreprises déclinantes. »

« Nous aurons rempli notre mission si nous inaugurons des Criteo plusieurs fois par semaine d'ici à quatre ou cinq ans », a déclaré, pour sa part, Fleur Pellerin, qui a dit comprendre « les préoccupations qui sont celles du secteur. Sur le crédit impôt recherche, sur les Jeunes entreprises innovantes, nous allons nous battre. »

S'étendant sur une surface de 10 000 m² et destiné à accueillir 300 ingénieurs, Criteolabs a impressionné les visiteurs par son puits de lumière et sa vue imprenable sur Paris.

EDITIALIS RACHETE LA PLATEFORME DIGITALE GFM

Editialis étoffe son offre marketing. En effet, le groupe de presse et de communication qui édite Ecommercemag.fr a racheté à la société Lettra Système les activités du Guide des Fichiers Marketing (GFM). Cette plateforme digitale rejoint ainsi le portefeuille d'activités du groupe aux côtés de marques médias, Marketing Magazine, Marketing Direct, Relation Client Magazine, E-commerce Magazine, Action Commerciale ou encore Chef d'Entreprise. Cette acquisition traduit l'ambition du groupe de renforcer son offre et ses services à destination des communautés marketing et e-commerce. « Editialis va apporter aux produits GFM une puissance amplifiée qui permettra de démultiplier l'audience et l'efficacité des produits », analyse Hervé Lenglart, p-dg d'Editialis. Créé en 1993 par Dominique Zalewski et Shafika Mackenzie, GFM est aujourd'hui reconnu comme l'outil incontournable des acteurs du marketing direct et de l'e-commerce. « Aux yeux du marché, le GFM est au marketing direct ce que le Guide Michelin est à la gastronomie », décrit Hervé Lenglart. Le groupe Editialis exerce son activité dans les secteurs de l'information professionnelle plurimédia (Editialis Médias) et de la communication corporate (Editialis Factory) . Il emploie près de 100 salariés, pour un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros en 2011.

 
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