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Les start-up françaises ambitionnent de lever 4,3 milliards d'euros d'ici mi-2020

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Les start-up françaises ambitionnent de lever 4,3 milliards d'euros d'ici mi-2020

Les start-up françaises sont à une forte majorité tournée vers la levée de fonds dans les mois qui viennent, avec un ticket moyen d'1,5 million d'euros. Des moyens qui visent d'abord à renforcer les équipes et à avoir un oeil sur l'international.

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Le dynamisme de l'écosystème start-up en France ne se dément pas. Une étude d'Estimeo et du cabinet d'audit et de conseil Mazars dresse un état des lieux et une perspective des besoins en financement des start-up françaises en early stage.

Les start-up françaises montrent leur appétit. Si près des trois quarts (72 %) des dirigeants de start-up interrogées partagent leur souhait stratégique de lever des fonds dans les 18 mois qui viennent pour un ticket moyen d'1,5 million d'euros, l'intention totale (transposée aux 4 000 start-up françaises) en levée de fonds s'élève à près de 4,3 milliards d'euros pour les dix-huit mois qui viennent.

Une soif d'argent frais qui explique donc leurs intentions de développement. Elles prévoient, par exemple, de recruter dans l'année qui vient en moyenne près de cinq nouvelles personnes (4,8). De même, leur appétence pour l'international est exprimée par près de trois jeunes pousses sur quatre.

Des sources de financement plutôt classiques

Pour les accompagner dans ces objectifs et affirmer leurs projets innovants, les dirigeants de start-up se montrent d'ailleurs plutôt friands des aides à l'innovation. Les aides de Bpifrance, le crédit impôt recherche (CIR) ou le statut de jeune entreprise innovante (JEI) sont plébiscités par un jeune diplômé et un serial entrepreneur sur deux. À l'inverse, les étudiants engagés dans l'entrepreneuriat ne sont que 10 % à faire état de leur intérêt pour ces dispositifs.

Pour autant, les sources de financement restent assez classiques. Si les fonds personnels sont mobilisés par la quasi-totalité des dirigeants (93 %), les financements de Bpifrance, les prêts d'honneur et les fonds de business angels complètent les besoins. Le crédit bancaire est, quant à lui, mobilisé par un quart des start-up en early stage.



 
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