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Headless Commerce : l’architecture technologique à l’épreuve des défis de la vente en ligne

Publié par le | Mis à jour le

Personnalisation des services et des produits, contraintes de time to market de plus en plus serrées, versatilités des consommateurs, les cybermarchands sont confrontés à des défis toujours plus complexes exigeant d’eux une réactivité et une capacité à se réinventer hors norme.

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L’approche headless se révèle aujourd’hui un choix technologique des plus judicieux pour renouveler le front-end avec un minimum d’efforts en back-end.

 

Appelée également composable, l'architecture technologique headless commerce a pour objectif d’isoler front-end et back-end pour obtenir des sites e-commerce plus faciles à gérer, plus modulables et surtout en mesure d’être plus réactifs en termes d’innovation. Entre les deux, l’information circule par le biais d’API (Application Programming Interface) qui sont des canaux reliant les différents systèmes. “Aujourd’hui, il faut des technologies modernes et souples pour réussir à stimuler l’innovation et la personnalisation”, confirme Hugo Simon, Country Lead & Senior Account Executive chez BigCommerce. 

 

L’approche headless est aujourd’hui promue par un grand nombre d’acteurs regroupés au sein de la MACH Alliance (Microservices, API-first, Cloud-native SaaS et Headless) qui présente et défend un écosystème technologique d'entreprise ouvert et optimal. Leur message est clair : “Les suites d'entreprise ne sont plus "le choix le plus sûr". L'écosystème MACH l'est. Il est agile, maniable et toujours à jour.”

 

Un retour sur investissement garanti

 

Si le passage à une architecture headless représente un coût certain avec, pour les collaborateurs, une phase d'appropriation de nouvelles technologies, sa capacité à aider les équipes à améliorer l’expérience client, garante d’un meilleur taux de conversion et donc d’une hausse des ventes, assure un retour sur investissement incontestable. “Cela rend notamment possible l’accélération de la croissance à l’international grâce à un travail en amont dans la création de contenus, la conquête de nouveaux clients sur d’autres marchés ou encore le lancement d’une nouvelle marque ou d’un nouveau produit facilement. Clairement, cela procure une réelle capacité à se réinventer et à être toujours au plus près des besoins et de la demande client”, ajoute Hugo. 

 

Une approche ouverte à toutes les entreprises

 

L’approche headless s’adresse à tous types d’entreprises et de toutes tailles. “Tout le monde peut en faire, ce n’est pas réservé à une élite”, confirme Hugo. On peut donc être une PME et envisager une transformation composable. “En revanche, précise Hugo, il faut prendre en considération que cela implique des ressources humaines et financières mais aussi du temps.” Une analyse et un audit de l’existant devront donc être réalisés en amont pour déterminer la possibilité ou non de s’engager. D’un point de vue technologique, il est certain que les entreprises ayant déjà amorcé une approche à base de microservices auront plus de facilité à opérer cette transition. Côté ressources humaines, il faudra également mettre en place des dispositifs de formation pour les équipes en interne et se faire accompagner d’experts et d’agences pour s’assurer d’un usage optimal de la nouvelle architecture. “Mobiliser les équipes est indispensable. La technologie headless s’éloigne clairement du monolithique, ce qui implique une phase d’adaptation. Mais au final, les commerçants y gagnent un contrôle total de leur écosystème et la possibilité de se renouveler en continue pour s'adapter aux évolutions du marché et aux nouveaux besoins de leurs clients”, assure Hugo Simon. 

 

Pour mieux comprendre l’approche headless et si cette dernière est adaptée à votre organisation, téléchargez l’infographie de BigCommerce.

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