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[1TO1Monaco] Le développement de la RSE au coeur des préoccupations des e-marchands

Publié par Martine Fuxa le - mis à jour à
[1TO1Monaco] Le développement de la RSE au coeur des préoccupations des e-marchands

Près de 9 e-marchands sur 10 pensent que la RSE va se développer de manière significative au cours de l'année. C'est l'un des enseignements de l'étude Fevad sur le moral des e-commerçants, présenté en ouverture de One to One Monaco.

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Rapprochement, concentration, alliance, tension sur les prix ...les préoccupations de retailers sont nombreuses et les défis majeurs en cette année 2023. Pour la première fois depuis sa création il y a 12 ans, le baromètre de la Fevad *sur le moral des e-commerçants qui sonde notamment les priorités d'investissement du secteur pour 2023, fait apparaître dans le top des priorités des retailers, la RSE. « C'est la première fois depuis le lancement de l'étude que l'informatique n'arrive pas en tête des priorités d'investissement, mais la RSE », souligne Marc Lolivier, Délégué général de la Fevad.

Des perspectives en demi-teinte

Malgré le contexte inflationniste, « 61 % des dirigeants anticipent pour 2023 une hausse de chiffre. Et près de 1 e-commerçant sur 2 pense qu'il va améliorer sa rentabilité au cours de l'année », ajoute Marc Lolivier. Une tendance qui ne fait pas oublier les difficultés de certains retailers emblématiques, avec des fermetures anticipées par l'échantillonnage de dirigeants sondés dans cette étude. « 60% pensent en effet qu'il y aura plus de fermetures cette année que l'année précédente », tempère Marc Lolivier. Les autres sujets de préoccupations conjoncturels touchent en premier lieu la hausse de coûts de transport, la baisse du pouvoir d'achat des ménages, la hausse de prix des matières premières...

Pour faire face à l'inflation, 83% des e-commerçants interrogés expliquent avoir augmenté leurs prix , 53% avoir réduit leurs marges... Enfin, près d'1 e-commerçant sur 2 (49%) déclare avoir annulé ou reporté certains investissements. Preuve s'il en fallait, que la période est avant tout à la prudence et à la rationalisation des investissements du secteur.

  • L'étude interroge 106 dirigeants du secteur, avec des profils de pure players (51%) ; de retailer (24%), de marques (17%) et autre (8%

 
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